Le développement durable est un terme de plus en plus utilisé dans un contexte écologique très actuel mais aussi un changement des mentalités et des modes de vie. Mais sait-on réellement utiliser les termes liés à l’écologie et l’environnement à bon escient ? Quel est le vocabulaire écoresponsable adapté ?
Il est vrai qu’il existe de nombreuses terminologies liées à l’écologie, mais nous ne connaissons parfois pas la définition exacte.
Cet article est donc fait pour vous éclairer sur le vocabulaire écoresponsable.
Mais d’abord, c’est quoi le développement durable ? Concept utilisé pour la première fois lors du rapport Brundtland (lors de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l’Organisation des Nations unies). Ce terme est devenu un incontournable lorsqu’on traite sur le sujet de l’environnement. Le développement durable repose sur deux aspects essentiels, il se défini comme la capacité à répondre aux besoins des générations actuelles sans compromettre les générations futures. Il s’agit donc de la transmission des ressources ou des moyens pour subvenir aux besoins.
Il existe 3 aspects fondamentaux, l’aspect économique, environnemental et social, le développement durable s’inscrit au travers de ces trois notions pour proposer un environnement vivable, viable et équitable.
Le concept de RSE
La responsabilité sociale et environnementale date de 1976 (OCDE). Chaque entreprise doit justifier et fournir les informations sur sa manière de prendre en considération l’environnement et le bien être de ses salariés. Les enjeux de la RSE résident dans la lutte contre les inégalités mais aussi dans une logique écoresponsable de la part des sociétés.
Dans une même logique, l’éthique, permet de s’interroger sur les moyens à mettre en œuvre pour permettre, de manière juste, à parvenir à cette égalité et cette démarche écologique.
La mode écoresponsable
L’écoresponsabilité est l’ensemble des démarches mises en œuvre pour s’inscrire dans une logique écocitoyenne, en faveur de l’environnement.
En ce sens, la transparence, valeur fondamentale, car elle justifie qu’il n’y a aucune tromperie vis-à-vis du consommateur.
L’économie sociale et solidaire, qui concilie l’aspect social, la solidarité avec les performances économiques.
Dans un même esprit, l’économie collaborative, qui permet la mise en commun des ressources, moyens et outils pour rassembler des savoirs faire et former ainsi une communauté autour d’une économie.
Le « Made in », de plus en plus pris en compte par les consommateurs, qui font attention à leur consommation. Le prix n’est plus le seul levier de consommation, la qualité et la provenance des produits sont pris en considération pour consommer de manière plus responsable.
L’agriculture biologique, le recyclage, le fait main et l’objectif zéro déchets, s’inscrivent aussi dans une démarche de consommation raisonnée. Faire attention à sa consommation pour favoriser les produits et les producteurs locaux, de manière à, non seulement promouvoir l’aspect social mais aussi environnemental.
En relation avec l’écoresponsabilité, certains mouvements deviennent de plus en plus importants comme le mouvement végan, résultant des végétariens, dans l’alimentation, ces personnes prônent la réduction voire la fin de la consommation de produits issus des animaux. Ce phénomène est de plus en plus rependu dans le monde et compte chaque jour de plus en plus de militants, à l’heure où les produits issus de fibres animales ou même les élevages suscitent de nombreuses polémiques et de nombreuses interrogations.
Tous ces concepts proviennent d’un engagement des populations, vers un mode de consommation raisonné.