Catégorie : Changer de vie

Les maisons container sont en vogue ! En plus d’être des logements écologiques, elles sont la parfaite solution pour obtenir une habitation rapidement. 

Souhaitée pour sa modularité mais aussi ses prix attractifs, la maison container est une solution originale, atypique et alternative aux habitations dites traditionnelles. Si vous souhaitez vous tourner vers une consommation plus respectueuse, les habitations écologiques peuvent être un point de départ. 

Qualifiée comme l’habitat de demain, la maison container s’appuie sur des conteneurs recyclés. Toutefois, il ne faut pas minimiser les coûts liés à la construction, l’assemblage etc …

La maison conteneur est une construction compétitive si vous souhaitez construire rapidement avec un budget raisonnable. Cependant, il faudrait connaître les avantages et inconvénients avant de se lancer dans cette habitation de demain.

Pour plus de renseignements sur ce logement atypique et écologique, direction Renouveau Habitat.

Qu’est ce qu’une maison container ?

Les maisons container sont des habitations modulables constitués de containers maritimes qui vont être fixés les uns aux autres par une ossature métallique.

Dans les années 90, ce type de logement était courant pour les logements de fortune. C’est à partir des années 2000, qu’ils sont employés pour des résidences universitaires en particulier aux Pays-Bas. Par la suite, ces logements sont devenus un concept de construction contemporaines dans le monde entier. 

Pour des raisons de sécurité, les conteneurs sont vérifiés et solidifiés dans des usines. On y ajoute une isolation sur les parois extérieures et intérieures. Lorsque vous choisissez le nombre de conteneur que vous souhaitez, vous pourrez définir la disposition et s’il y a besoin d’apporter des modifications sur la taille par exemple. 

On retrouve les logements container pour des maisons individuelles mais aussi des logements collectifs comme des logements sociaux ou étudiants. De plus, les conteneurs peuvent être utilisés pour des projets d’extension, de surélévation de maison ou encore de piscine.

Quels sont les avantages d’une maison container ?

Les maisons containers sont une solution pour les foyers n’ayant pas de gros budget pour faire construire un bien immobilier. En effet, ces dernières sont des constructions accessibles financièrement, en moyenne, il faudra compter entre 400 et 1500€ du mètre carré. 

En plus de cet avantage financier, la maison container est 100% modulable en fonction de vos besoins. Comme pour une habitation traditionnelle, vous pourrez aménager cet espace en fonction de vos envies et de vos souhaits. Malgré qu’elle soit bâtie à partir d’énormes conteneurs, vous pourrez choisir la disposition, l’endroit où mettre les ouvertures, etc … Rapidement constructible à partir du moment où ces éléments sont choisis, vous aurez les clés en mains pour vous installer avec votre famille. Généralement, il faut compter entre 4 à 5 mois d’aménagement afin que tous les raccordements d’électricité et d’eau, la fixation entre les différents conteneurs, etc … 

Maison container et ses inconvénients

La maison container est la solution idéale pour avoir un logement à petit budget tout en limitant son impact environnemental. Cependant, elle possède comme n’importe quelle habitation des inconvénients qui doivent être connus par tous. 

Ce type de logement peut ne pas être compatible avec le PLU (Plan Local d’Urbanisme). Ainsi il faudra contacter la mairie de la ville ou du village dans lequel vous vous installer afin de vérifier que le PLU permet l’installation de logement atypique et si la maison container en fait partie. 

Mais le plus gros inconvénient peut être le transport des conteneurs. En effet, il sera nécessaire de prévoir une enveloppe concernant l’acheminement des conteneurs de l’usine à votre terrain.

De nombreux termes sont établis au sein de notre préoccupation environnementale mais nous ne savons pas toujours ce que cela signifie. Par exemple, l’économie circulaire, c’est quoi ?

L’économie circulaire, c’est quoi ?

L’économie circulaire est la prise de conscience des ressources limités de la planète. Cette notion prend en compte la génération de nouveaux emplois durable et surtout non délocalisable. Cette économie circulaire est une économie verte, c’est pour ça que les enjeux de cette économie sont à la fois environnementaux, économique et sociaux.

La transition vers l’économie circulaire

La transition dans cette économie circulaire nécessitera une certaine progression dans certains domaines :

• L’éco-conception : c’est-à-dire la prise en compte de la durée, le cycle de vie d’un produit et sa conception par rapport à son impact sur l’environnement.
• La durabilité de l’approvisionnement : ce sont les extraction et l’exploitation qu’il faut prendre en compte par rapport à leurs impacts environnementaux et sociaux des ressources.
• L’économie de la fonctionnalité : dans cette économie il faudra tendre sur l’utilisation des services plutôt que la vente de biens.
• La prévention, la gestion et recyclage des déchets : c’est la réinjection et l’utilisation des déchets en les réimplantant dans le cycle économique.
• L’allongement de la durée d’usage d’un produit ou service par le recours de la réparation, par la vente de produits d’occasion ou encore le réemploi et la réutilisation.
• La consommation responsable : c’est prendre en compte les impacts environnementaux et sociaux dans les étapes du cycle de vie du produit dans les choix d’achat, quelque soit le secteur du client (privé ou public).
• L’écologie industrielle : C’est l’optimisation des ressources sur un territoire en mutualisant les acteurs économiques, les flux économique, d’énergie d’eau ou encore les infrastructures.

L’économie circulaire ne correspond pas à un seul secteur d’activité et ne se limite pas à la fin de vie des déchets. L’enjeu est d’intégrer l’économie circulaire de manière globale et transversale dans toutes les activités ainsi que dans les politiques publiques.

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.« 
Lavoisier, 1789

Où en sommes-nous aujourd’hui ?

La transition vers une économie circulaire en France, se fait par la mise en place de règlementation progressive par la mise en place d’incitations adaptées mais aussi par la contrainte.

C’est surtout le cas avec les schémas de REP (responsabilité élargie du producteur) en visant la contrainte par son internalisation, avec les déchets de producteur pour ne pas faire peser la responsabilité essentiellement sur les épaules du consommateur.

En 2015, une proposition a été présenté, celle-ci contient des plans d’actions se déclinant en une série d’actions et de mesures qui seraient déployées fin 2019. Et des propositions de législations sur le recyclage et les déchets se verront mettre en place.

Les leviers permettant à l’économie circulaire de se développer ressortent de la vie politique, autant que des incitations économiques que par l’innovations et des ruptures technologiques. Cette économie tend à ce que nous repensions entièrement nos modèles de croissance dans leurs globalités.

Enfin ce développement est nettement freiné par des blocages sociaux et culturels qu’il faudrait appréhender de façon plus objective. La stimulation de la demande de la matière ainsi que des produits serait nécessaire afin de la rendre plus attractif pour les agents économiques.

Pour conclure, le plastique recycler sera mis en place une fois que les consommateurs seront en mesure d’intégrer les aspects, le touché et côté esthétique.

Nous pouvons compter des dizaines et des dizaines de labels dits « bio » différents sur nos produits du quotidien. Pouvons-nous parler de « vrai bio » et de « faux bio », que traduisent-ils réellement ? Lequel est le meilleur ?

Les labels bio de nos jours

Aujourd’hui, nous essayons de plus en plus de consommer mieux, ces labels nous aident dans nos choix, à faire le meilleur possible. Les seuls critères que nous avons lors de l’achat est les labels mis sur les produits en qui nous avons confiance car nous en sommes dans un pays réglementé, avec des normes donc, normalement les labels utilisés sont vrais. Nous pouvons avoir confiance. Seulement, ce n’est pas aussi simple.

Ces critères de l’agriculture biologique sont réglementés par le règlement européen à travers son cahier des charges officiel.

Plus concrètement, tous les produits qui ne sont pas certifiés par le label européen ne peuvent pas se vendre comme des produits étant issus de l’agriculture biologique.

Les nouveaux labels en France qui sont apparus sont davantage précis. En effet, certains organismes, trouvant les critères européens pas encore assez exigeant, ont lancé des labels répondant aux critères européens et à d’autres en plus. Par exemple, les labels Nature et Progrès ou encore Bio Cohérence qui mettent en plus en avant la rémunération et la condition de travail des producteurs.

Le logo « AB »

Ne vous inquiétez pas, si vous retrouver encore des labels AB sur les produits c’est normal. En effet, ce label signifie tout simplement que le produit respecte des règles de santé française.

Ce logo assure que le produit respecte un grand nombre de critères, bien plus importantes que les normes européennes. Cependant, le nouveau règlement interdit aux gouvernements de poser des exigences plus fortes pour le secteur du bio.

Le cahier des charges français a donc été remplacé par celui du nouveau label européen.

Le logo AB lui-même ne disparaît pas, c’est parce que le règlement européen autorise la coexistence des sigles. Producteurs et ministère ont donc décidé de conserver le célèbre AB. Vous verrez donc très souvent les deux logos côte à côte.

Les engagements face aux labels bio

Les engagements induits par l’utilisation du logo AB sont désormais exactement les mêmes que ceux du logo européen.

Culture

Garantie sans pesticides chimiques.

Sans traitements chimiques après récolte.

Élevage

Une alimentation sans pesticides chimiques, et majoritairement composée de céréales. Toutefois, cette alimentation n’est pas forcément produite sur l’exploitation : elle peut provenir d’autres exploitations biologiques de la même région.

Une interdiction de traces d’OGM au-delà des 0,9 % admis en cas de contamination fortuite

Un recours limité aux traitements vétérinaires et aux médicaments. Par exemple, les poules pondeuses peuvent recevoir un maximum de trois traitements antibiotiques par an, les poulets de chair un seul.

Le bien-être des animaux garantis par un espace minimal et un accès au plein air.

Depuis quelques années, l’explosion des plateformes Internet et du digital ont fait augmenter le nombre d’auto-entrepreneurs, d’indépendants et de free-lance. Nous avons donc décidé de mener notre enquête sur ces prestataires qui redessinent le monde du travail avec le concept d’uberisation ! 

Définition d’uberisation

L’uberisation doit son nom à l’entreprise Uber, emblème du secteur des services de transport automobile en VTC (voiture de transport avec chauffeur). Aujourd’hui, elle désigne un nouveau modèle économique fondé sur la digitalisation, la désintermédiation qui s’est créée autour des start-ups. En effet, des plateformes numériques sont donc créées pour mettre directement en relation les clients et les prestataires en temps réels (quasi-immédiateté des échanges).  

De plus, l’économie collaborative de l’uberisation se démarque de l’économie du partage. Ils effectuent le prélèvement d’une commission sur les transactions effectuées entres les prestataires et les demandeurs à travers les différentes plateformes de mise en relation.

Quelques exemples d’uberisation

Uber est une application de covoiturage qui met en relation des chauffeurs professionnels indépendants (VTC) et des clients. Cette application concurrence grandement les taxis.

Airbnb est une plate-forme de location et de réservation de logement entre particuliers (concurrence les hôtels). 

Blablacar est également une application de covoiturage qui concerne les longs trajets. C’est un moyen de faire des rencontres mais aussi de payer moins cher les voyages.

Ectorparking est un service de voiturier qui est en place en France dans plusieurs aéroports (Orly / Roissy-CDG…), mais aussi dans les gares. Un voiturier se charge de récupérer votre véhicule au dépose minutes. En effet, le voiturier transférera votre voiture dans le parking de l’entreprise à l’extérieur de l’aéroport. 

A votre retour, le voiturier vous attendra avec votre voiture. Finis les tracas de stationnement et vive les économies !

Les avantages et les inconvénients pour les deux parties 

Elle permet aux prestataires d’obtenir des compléments de revenus et de diversifier leurs activités professionnelles en étant autonome. De plus, grâce aux plateformes, les clients sont plus accessibles et la demande est plus forte.

Cependant, les prestataires professionnels qui sont uniquement déclarés comme travailleur indépendant (free-lance ou encore auto-entrepreneur) risquent de vivre avec une couverture sociale très faible. Ce type de travail entraîne plus de précarité que le salariat et le niveau de leurs revenus est dicté par les changements des politiques tarifaires des plateformes.

Grâce à l’uberisation, les clients, peuvent trouver des services moins chers ou de meilleure qualité à prix équivalent que d’ordinaire. De plus, les plateformes sécurisent leurs paiements à travers les assurances intégrées, les évaluations des prestataires par les autres utilisateurs mais aussi par la simplicité et rapidité des applications.

Les enjeux sociaux et économiques de l’uberisation : 

Sur le court ou long terme, l’uberisation à générer de grands bouleversements sociétaux non-négligeables.  Même si elle entraîne une dynamisation importante des proccess économiques, l’uberisation fragilise l’économie traditionnelle. En effet, les hôtels, les taxis et d’autres parties prenantes sont impactés économiquement. De plus, avec l’apparition de l’intelligence artificielle d’autres secteurs d’activités (architectes, managers…) pourraient-être infectés demain. Le manque de protection des travailleurs ou la précarité économique qu’entraîne ce modèle sont des réels inconvénients.

Cependant, l’uberisation fait émaner des destructions créatrices d’emplois, elles sont induites positivement par les plateformes. Ces dernières années, plus de 25 000 emplois ont été créés. Ce qui engendre une forte croissance. C’est une innovation qui révolutionne nos échanges sociaux en les rendant plus simples, moins chers et plus rapide.

En conclusion, l’ubérisation économique fait aujourd’hui partie de nos vies et il faudra trouver des moyens d’encadrer ses activités qui peuvent parfois faire polémique ! 

Chaque jour chacun d’autre nous peut faire un geste écologique pour réduire son empreinte écologique.

Si chacun d’entre nous fait une petite action au quotidien pour essayer d’avoir un léger impact sur l’environnement, alors tous ensemble nous pouvons essayer de faire changer les choses et d’essayer de réduire l’impact néfaste que nous avons sur l’écologie.

• Économie d’énergie
• Revoir son alimentation
• Se déplacer autrement
• Réduire ses déchets
• Mieux gérer sa consommation d’eau
• Réduire son empreinte numérique

L’économie d’énergie

Pour retrouver plus d’informations et de conseils pour économiser votre énergie, lisez l’article sur l’économie d’énergie.

Revoir son alimentation

Si vous souhaitez en apprendre plus sur la bonne alimentation à adopter vous pouvez lire : quel est le meilleur régime alimentaire pour la planète ou : manger moins de viandes.

Se déplacer autrement

Un geste écologique que nous pouvons chacun faire chaque jour et d’adopter un moyen de déplacement plus vert. Les transports représentent un poids considérable dans notre empreinte écologique : selon le gouvernement, en 2013, les transports représentaient 27% des émissions de gaz à effet de serre en France, dont pour la moitié, la voiture individuelle était mise en cause.

Adopter une conduite responsable

Il est important d’adopter une conduire « économique » : évitez tant que possible les coups de freins et les démarrage brusques. Cela permet d’économiser jusqu’à 30% par rapport à une conduite « sportive ».

Il faut également éviter la surconsommation de carburant. Il est par exemple plus économique d’éteindre le moteur au-delà de 30 secondes d’arrêt. Ne pas ouvrir les fenêtres permet également de diminuer la consommation de carburant car ouvrir les fenêtres augmente la prise au vent. Pour finir pensez à gonfler vos pneumatiques à la bonne pression ; cela permet de ne pas surconsommer du carburant.

 Favoriser les transports alternatifs à la voiture

Regardez tout d’abord favorisez les transports en commun. Si le trajet en transport en commun est trop compliqué, déplacez-vous à pied ou à vélo. Pensez aux vélos libre-service mis à la disposition dans de nombreuses villes si vous n’avez pas de vélo personnel.

Vous pouvez également organiser un système de covoiturage avec vos collègues pour vos trajets domicile/travail. Cela évitera d’ajouter des voitures sur les routes.

Pour finir privilégiez le train à l’avion pour les trajets longue distance. Un train émet 300 fois moins de gaz carbonique d’un avion ! Prenez l’avion quand la solution du train est inenvisageable.

Réduire ses déchets

Retrouvez nos conseils pour apprendre à mieux trier vos déchets dans notre article : comment trier ses déchets et retrouvez plus d’informations sur les emballages dans notre article : emballages alimentaires : lesquels sont les plus écologiques.

Mieux gérer sa consommation d’eau

Découvrez comment réduire sa consommation d’eau avec notre article : Les astuces pour économiser l’eau chez soi.

Réduire son empreinte numérique

Aujourd’hui chacun d’entre nous a un téléphone voire même un ordinateur. Nous sous-estimons l’impact environnemental de leur production et de leur utilisation.

Vous pensez qu’une simple recherche via un moteur, que l’envoi d’un simple e-mail ou que le stockage de vos photos non aucun impact sur l’environnement ? Vous faites erreur ! Toutes ces petites actions de notre quotidien ont une empreinte environnementale.

Rallonger la durée de vie de notre matériel

Le premier geste écologique est d’essayer de garder le plus longtemps possible ses équipements numériques. Un smartphone peut être utilisé pendant au moins 5 ans et un ordinateur pendant plus de 10 ans.

Lorsque vous souhaitez acheter un nouvel appareil, opter pour du reconditionné plutôt que du neuf.

La dernière option est de recycler. Si vous devez vous séparer de votre matériel, déposez-le dans un conteneur adapté ou dans une enseigne spécialisée qui pourra privilégier son réemploi s’il fonctionne encore.

Limiter notre consommation énergétique

Pour les ordinateurs, il est conseillé de les mettre en veille au bout de 3 minutes sans utilisation et l’éteindre lors d’une pause prolongée.

Un geste très simple à faire qui peut faire la différence est d’éteindre sa box et le boîtier TV. Il faut savoir qu’allumés 24 heures sur 24, ils consomment de 150 à 300 kWh par an, soit la consommation électrique annuelle de 5 à 10 ordinateurs portables utilisés 8 h par jour ! Éteindre sa box pendant la nuit permet d’économiser 65 à 130 kWh.

Les emails ont une très grande empreinte environnementale : il est préférable d’éviter d’envoyer trop de mails, de limiter les pièces-jointes et le nombre de personnes en copie. Envoyer un e-mail consomme autant d’énergie que de le stocker pendant 1 an. Il est aussi important de faire régulièrement le tri dans ses mails et de supprimer tous ceux qui sont inutiles. Vous pouvez supprimer les SPAMS automatiquement.

Comme nous l’avons déjà abordé dans un article, pour la protection de la planète, il est envisageable de manger moins de viande ; nous détaillerons ici, tout un régime alimentaire meilleur pour la planète.

Un constat

D’ici 2050, nous serons plus de 10 milliards d’humains sur la planète. Pour réussir à nourrir ce nombre d’individus, il est primordial d’agir aujourd’hui.

En divisant par deux la consommation mondiale de viande rouge et de sucre et en doublant celle des fruits, des légumes et des noix et céréales, il sera possible de nourrir tout le monde sainement.

Nous pouvons constater un point positif, un grand nombre de pays se sentent impliqués et concernés et tentent de trouver des solutions ; seulement la population ne suit pas toujours.

Un nouveau régime alimentaire

En janvier dernier, près de 37 experts de 16 pays se sont regroupés et ont travaillés durant 3 années sur ce sujet. Ils en ont fait la conclusion décrite plus haut.

Proposition du régime alimentaire

Ils nous proposent un régime alimentaire très précis, qui, selon eux, sauverait la planète et nous permettrait de vivre « bien » en étant autant sur la Terre. Le régime alimentaire qu’ils dépeignent consiste simplement à consommer quotidiennement en moyenne 300 grammes de légumes, 200 grammes de fruits, 200 grammes de graines entières (comme le riz, blé, maïs…), 250 grammes de lait ou équivalent et seulement 14 grammes de viande rouge ou trouver l’équivalence d’une provenance végétale, volatile, poisson ou œuf.

Ils décrivent le régime alimentaire actuel comme étant une menace pour les individus mais également pour la planète. Ils poussent la Terre au-delà de ses limites et seraient aussi sources de maladies.

Ils préconisent également une chose importante, qui apparaît dans ces nouvelles tendances de consommation de manger mieux, réduire les sucres ajoutés. Il faudrait réduire cet ingrédient à plus de 50 % dans l’alimentation. Ils pensent également à diminuer les aliments ultratransformés.
On constate actuellement une réelle envie de consommer des aliments de meilleure qualité, avec plus de goût, moins trafiqués, et moins sucrés et salés pour rien.

Ces idées auraient de réels impacts sur la planète et bien entendu sur la santé. En effet, cette consommation, dangereuse, fait apparaître des maladies comme l’obésité qui arrive de plus en plus tôt, les maladies cardio-vasculaire…

La surproduction

On était à une course à la production à n’importe quel prix mais aujourd’hui les gens veulent tout rapidement mais avec un critère important qui fait la différence dans leur choix de consommation : la traçabilité des produits. Consommer mieux incitera les entreprises à produire mieux. On l’espère tous car bientôt nous aurons plus le choix !

À noter que le régime prescrit par les experts est évidemment à nuancer selon les cultures, physiologie de la personne, la zone géographique…

Il n’est pas à appliquer au pied de la lettre mais c’est une idée vers laquelle votre régime alimentaire devrait tendre.

Le but de ce rapport qui a été réalisé après de longues années d’observation est de trouver « un équilibre entre les besoins en matière de santé humaine et les impacts environnementaux ».

Enfin, selon eux, il est impératif de réduire le gaspillage alimentaire et les pertes lors du processus de production. Oui il faut changer les modes de consommation mais de production également.

Il faut savoir que ces idées sont nuancées par les sociétés de l’agroalimentaire qui trouvent qu’ils ont manqué de responsabilité lors de ce rapport.

On ne se rend pas compte, mais économiser l’eau chez soi est déjà un énorme geste pour améliorer la préservation de cette ressource naturelle.

En arrosant nos plantes

Rare sont les personnes qui sont conscientes de l’impact que peut avoir l’arrosage de nos plantes. En effet, le mieux est de les arroser tôt le matin ou alors en soirée afin de limiter l’évaporation de l’eau mais également favoriser l’arrosage au niveau des racines.

Si cela est possible, il est mieux de privilégier les plantes qui demandent peu d’eau et d’installer un récupérateur d’eau de pluie.

Petite astuce : Mettre de la paille dans l’espace autour des plantes afin de garder l’humidité des sols et économiser l’eau.

Abandonner le bain pour économiser l’eau

La part la plus importante en dépenses d’eau provient principalement de la salle de bain et des WC. Aujourd’hui, il existe de nombreuses manières de réaliser des économies d’eau. Il y a des WC à double débit qui proposent des chasses de 3 ou 6 litres, ce qui peut avoir un impact considérable à l’échelle mondiale.

Le fait de prendre une douche plutôt qu’un bain a réellement une différence énorme. On peut compter plus de 100L de différences entre les deux.

Petite astuce : Il existe des douchettes à économie d’eau qui propulsent de l’air dans l’eau réduisant le débit tout en préservant le confort de la douche. Les installer ne sera pas un cauchemar.

Éviter le gaspillage d’eau

C’est une idée qui peut paraître logique mais qui n’est pas pourtant appliqué tout le temps. Le gaspillage de l’eau peut être limité tout simplement lorsque l’on se brosse les dents ou quand on fait la vaisselle. C’est une perte complétement limitable.

En effet, la vaisselle à la main gaspille plus d’eau qu’un cycle de machine à lavée. Cela peut monter jusqu’à 200 L.

De plus, arrêter le robinet quand on se brosse les dents est acte anodin mais qui peut avoir un impact considérable pour économiser de l’eau.

Petite astuce : il est important de rester attentif aux petites fuites, c’est presque 100 euros par an d’économiser pour une petite goutte qui tombe d’un robinet.

Toujours en restant dans l’idée d’économie, la dépense en eau pour arroser les jardins est encore trop importante. En effet, pour arroser un jardin, il faut compter entre 15 à 20 litres par mètre carré. Cela représente une consommation d’environ 2000 litres par an pour un jardin de 100m.

Quelques conseils pour économiser l’eau

Quelques idées simples à utiliser quotidiennement pour réduire cette dépense. L’idée générale est d’essayer d’arroser avec parcimonie. Pour cela, il est intéressant de remplacer le tuyau d’arrosage par un arrosoir. Si la surface à arroser est trop importante et qu’il est nécessaire d’avoir un tuyau, alors, favoriser les tuyaux poreux afin de limiter la consommation d’eau.

Il est également intéressant de savoir que le moment durant lequel vous arrosez est important. En effet, favorisez d’arroser vos plantes le soir afin de réduire les pertes d’eau dues à l’évaporation qui peut se compter entre 5 et 10 %. Sous la chaleur, 60 % de l’eau s’évapore avant même d’avoir été absorbée par les plantes. Ce point est réellement un changement d’habitude à avoir car peu de personnes en sont conscientes et peuvent avoir un impact réel.

Enfin, pensez à arroser moins fréquemment mais de manière plus longue afin que la terre s’humidifie en profondeur. À l’exception des grosses chaleurs.

Il est important de savoir que d’arroser sur une terre tassée est moins efficace car l’eau ruisselle, or, sur un sol meuble et travaillé, cela permet un arrosage plus efficace.

Petite astuce : investissez dans un récupérateur d’eau de pluie afin de collecter l’eau de pluie à la descente des gouttières.

Qu’est-ce qu’un écohabitat ?

De plus en plus en France aujourd’hui, les politiques changent mais également les volontés des citoyens évoluent également. En effet, un désir de vivre dans un environnement sain, écologique et soucieux de l’environnement est important pour de nombreuses personnes.

L’écohabitat est une maison bioclimatique basse énergie qui essaye de rassembler le maximum de matériaux écologiques. Les matériaux sont choisis selon le climat de la région pour que l’habitat soit sain et naturel.

Le seul point négatif que l’on peut noter avec cette décision est le surcoût qu’il peut y avoir lors de la construction et des choix des matériaux pour réaliser des espaces écologiques comme des serres intégrées en verre et en structure métallique.

Cependant, le surcoût presque inévitable pour avoir un habitat écologique peut être compensé par les économies d’énergies qui seront réalisées, une valorisation de la maison mais également une plus-value lors de la revente.

Comment avoir une maison écoresponsable ?

Aujourd’hui, ce challenge d’avoir une maison de plus en plus écologique et respectueuse de l’environnement est réel et important. Les tendances de consommation, de vivre évoluent et dans le bon sens. Nous voulons manger mieux, connaître la provenance, cela, pour nous mais également pour l’impact que cela peut avoir pour la planète, le réchauffement climatique… cela inquiète, touche et concerne la population ; et cela est important car nous avons un rôle à jouer à tous les niveaux.

Isolation pour un écohabitat

Tout d’abord, pour avoir une maison écoresponsable, il est important de penser à bien isoler sa maison. Cela peut paraitre évident mais il y a de nombreux ménages qui, aujourd’hui, perdent beaucoup d’énergie par une mauvaise isolation. Cela impacte dans un premier temps, la planète mais également les factures d’énergies.

Pour cela, il faut installer une isolation thermique des toitures avec des matières adaptées comme la fibre de bois, la ouate ou encore la laine de verre…

Il faut également veillez au choix des bons matériaux avant la construction des murs. Il est important de savoir que les parties nord et ouest sont les plus sensibles.

Enfin, nous devons penser aux portes. En effet, ces objets peuvent avoir un réel rôle sur l’impact énergétique de l’habitat. Pour cela, il faut choisir des portes et fenêtres isolantes, en calfeutrage avec des joints, un survitrage ou un double vitrage.

Réduction consommation d’énergie

Un dernier petit conseil, il serait intéressant de s’équiper d’appareils de réduction de consommation d’énergie comme un récupérateur de calories de l’air (comme une VMC double flux), un régulateur de débit d’eau adapté à toutes les sources d’eau qu’il peut y avoir dans la maison, et un récupérateur d’eau de pluie (comme des cuves de récupération).

Il existe des fondations comme la Fondation Terre Solidaire ou encore des entreprises qui conseillent les particuliers dans la conception de leur habitat écoresponsable selon les critères que vous avez.

Vous pouvez également bénéficier d’une aide pour la construction mais également pour la rénovation de votre habitat vert. Il existe les subventions de l’ANAH (Agence nationale de l’habitat) qui sont données selon des conditions de revenus, foyers modestes, le crédit d’Impôt Transition Énergétique qui peut aller jusqu’à 30% ou encore la Prime Énergie qui est un chèque bancaire. Vous pouvez également avoir une TVA à taux réduit ou encore l’éco-PTZ.

Il n’y a plus d’excuse pour ne pas passer à l’écohabitat !

Petite astuce : favoriser l’électricité verte.

L’électricité verte est une source d’énergie qui est produite grâce aux énergies renouvelables comme le photovoltaïque, la géothermie, l’hydraulique ou encore l’éolien.

Ce type d’énergie ne produit que des quantités négligeables de polluants.

Le fait de consommer des insectes ou encore « l’entomophagie », est une façon de s’alimenter qui fait de plus en plus parler d’elle.  En effet, beaucoup de personnes se laisse tenter par cette nouvelle manière aussi saine et surprenante de nous alimenter.

Pourquoi consommer des insectes ? 

Plus de 60% des cultures dans le monde se nourrissent déjà d’insectes. Pourtant les Français les considèrent plus comme des nuisibles que comme une nouvelle source d’alimentation. Il est donc important que les mentalités évoluent en pensant aux aspects écologiques, financiers et mondiales de ce nouveau régime alimentaire.

Diversité de choix

Tout d’abord, nous pouvons en consommer car nous avons l’embarras du choix : grillons, scorpions, termites, criquets, fourmis, scarabées, sauterelles… Dans le monde entier on compte plus de 1600 espèces différentes d’insectes à manger. Parmi elles, il y en aura forcément une qui vont vous faire croquer !

Il existe une multitude de repas à préparer à base d’insectes : apéro, plats principaux et même des desserts ! A l’heure actuelle, on peut trouver sans difficulté sur internet des « apéro box » qui contiennent uniquement ceux qui sont comestibles (grillons aux tomates séchés). Si vous voulez réaliser un apéro original et décalé c’est gagné ! 

Nous le savons, l’alimentation est l’un des secteurs les plus néfastes pour notre planète. L’élevage et la production d’insectes en comparaison avec la production de viande par exemple, engendrerait moins de gaz polluants. Comme quoi ils pourraient contribuer à sauver notre planète.

Nouveau régime alimentaire

Si vous êtes à la recherche d’un régime hyper-protéiné ou que vous faites attention à votre santé, vous pouvez manger des insectes comestibles qui sont source plus de protéines que la viande ou du poisson. De plus, ils apportent environ 15% de lipides et glucides à notre organisme. Ils seraient ainsi une solution, bien meilleur que la viande, en cas de sous-nutrition. Tout ça sans prendre de poids ! Ils ne sont pas caloriques. Fini la soupe aux choux et vive le régime aux grillons. Manger des insectes c’est donc bon pour la santé ! Cependant il est important de vérifier leurs provenances. Il est important de ne pas consommer nos insectes de jardins qui sont exposés aux pesticides.

Cependant, ce type d’alimentation ne convient pas à tout le monde. En effet, il est important de ne pas en donner aux enfants de moins de 3 ans qui pourraient s’étouffer avec. Il est recommandé aux personnes ayant des allergies aux crustacés de ne pas essayer d’en consommer.

Peut-on produire des insectes comestibles et ou pouvons-nous en trouver ? 

Certains magasins vendent des insectes entiers vivants, vous avez le droit de les acheter et de les cuisiner vous-même en les assaisonnant d’herbe de Provence par exemple. Cependant, il vous est interdit de réaliser un élevage d’insectes chez vous, la production d’insectes comestibles est réglementée.

Vous pouvez également en acheter directement cuisiner dans certaines boutiques et restaurants. Ne vous inquiétez pas ils sont destinés à la consommation humaine sont soumis à des normes et règles d’hygiène très strictes. 

De nos jours, la consommation d’insectes semble encore difficile à envisager pour constituer un réel substitut à la viande. Ce régime alimentaire pourrait toutefois transformer notre alimentation et nous permettre de diminuer l’empreinte environnementale de nos assiettes.

Alors, êtes-vous prêts, vous aussi, à manger des insectes pour protéger votre planète ? Tenter l’expérience, vous pourriez être surpris !

Qu’est-ce que l’économie d’énergie ?

La consommation d’énergie est un facteur principal dans l’économie d’énergie car nos ressources matérielles, à savoir, l’énergie fossile, s’épuisent.

Il existe plusieurs types d’énergies :

• Les énergies renouvelables qui sont composées de :
  • L’énergie solaire, elle se transforme et devient l’électricité, celle que nous produisons.
  • L’hydraulique est l’eau que nous transformons en électricité grâce à la force motrice.
  • L’énergie éolienne produit de l’énergie grâce au vent et aux aérogénérateurs.
  • Le bois qui permet de transformer la chaleur en énergie, qui produit de l’électricité.
• Les énergies dites plus traditionnelles comme le gaz naturel et GPL mais aussi le charbon et le fuel.

Pourquoi économiser de l’énergie ?

Comme vous le voyez depuis des années, l’économie d’énergie est un enjeu majeur pour la planète. Le réchauffement climatique est lui principalement dû aux émissions de gaz à effet de serre. Cette consommation ne cesse de croître au travers de la population et tend à voir une augmentation considérable, son coût est lui aussi en constante augmentation.

Comme nous l’avons vu précédemment, il est nécessaire d’économiser l’énergie sur le domaine domestique, en réduisant notre consommation en passant à des énergies renouvelables.

La réduction de l’utilisation du carburant pour nos voitures est aussi primordiale pour sauver notre environnement car elles consomment beaucoup.

L’économie d’énergie sert donc plus particulièrement à notre environnement avant nous-même mais sert aussi pour éviter certains dérèglements climatiques que nous pouvons observer.

Travaux d’économie d’énergie

• Le chauffage

Tant pour sa facture en fin de mois comme pour la consommation, la réduction du chauffage est une réelle question. Sa réduction est importante car une surconsommation de son habitat est un trop plus. Il est donc conseillé de maitriser cette température pour avoir une réduction significative.

• L’isolation

En ce qui concerne l’isolation, le meilleur moyen est d’isoler son habitat par l’extérieur comme ce qui est recommandé afin de pouvoir réduire au maximum les pertes de chaleur.

En effet une maison mal isolée l’hiver consommera nettement plus qu’une maison très bien isolée. Mais aussi l’été la maison sera plus fraiche et la climatisation sera donc moindre.

• Les zones à traiter
  • La première zone est le toit car l’air chaud s’accumule en hauteur avec une isolation de faible qualité. On peut observer une déperdition de chaleur de 25 à 30 %.
  • Les murs ; en effet, un mur mal isolé lui observe une déperdition de 20 à 25% de chaleur.
  • Les fenêtres, comme les portes, elles, observent une déperdition conséquente de 10 à 15% selon les logements, il est donc conseillé d’avoir une isolation à ces niveaux-là.
  • Pour finir, le sol est aussi un acteur de la perte de chaleur avec 5 à 10%, effectivement, les planchers ont besoin d’une certaine qualité pour ne pas perdre la chaleur par le bas.

Pour finir, il faut savoir que de nombreuses aides existent afin de réduire au maximum sa consommation d’énergie. Les travaux pour économiser l’énergie peuvent bénéficier de certaines aides comme :

• Un taux de TVA à 5,5% pour l’amélioration de la qualité énergétique.
• Une aide sur certains crédits d’impôt sur certains travaux.
• Mais aussi des aides financières, par les collectivités territoriales

Ce sont des travaux lourds mais qui ont aussi de lourdes conséquences pour l’environnement.